WikiLeaks: un itinérant virtuel

Après avoir rendu publics les fameux mémos américains pas du tout diplomatiques, WikiLeaks s’est fait proprement jeter dehors par Amazon qui hébergeait le site puis par son hébergeur français à la demande du gouvernement français. Même si je ne pense pas que cette divulgation changera quoi que ce soit, sauf peut-être rendre les dipomates américains plus “bcbg” ou “politically-correct” dans leurs écrits, j’espère que c’est vrai que l’organisation a envoyé ces documents à des milliers d’internautes qui pourront les rendre disponibles sur leurs serveurs. En tout cas, le mien est disponible.

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