Bilan H1N1 : mes coups de gueule

Après les coups de coeur, les coups de gueule avec cette mise en garde : il est toujours plus facile de refaire la partie une fois qu’elle est terminée.

Le manque de communication avec les partenaires
et principalement les infirmières. J’avais parfois la désagréable impression que la communication, ou plutôt les récriminations, se faisait pas médias interposés.

La cohue lors de l’ouverture des premières cliniques
surtout dans la grande région de Montréal. Il est manifeste que les autorités avaient sous-estimé la réponse de la population et que, par ailleurs, le modèle “top-down” n’est peut-être pas approprié quand l’opérationnalisation est décentralisée.

Le peu d’emphase mis sur Internet

  • Exception faite de l’Agence de la santé de Montréal, je n’ai pas senti d’efforts concertés pour utiliser Internet ne serait-ce que pour rejoindre les 15 – 25 ans réfractaires à la vaccination ;
  • sur pandemiequebec.gouv.qc.ca, on aurait pu nous demander notre code postal et nous diriger directement vers le centre de vaccination approprié au lieu de nous offrir la liste des CSSS dont peu de gens connaissent les noms ;
  • pas de canal YouTube qui aurait permis à certains d’entre nous de partager les informations présentées lors des points de presse.
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