Réseaux sociaux : pour les converti(e)s pas pour convaincre

C’est en effectuant des recherches dans mes clips de veille sur l’utilisation des réseaux sociaux par les partis politiques que je suis re-tombé sur l’article du Globe and Mail ” Social media a powerful election tool but no match for door knocking: experts “. On peut y lire que :

Rather than battle for undecided votes, the aim is to mobilize their support bases and turn online support into real-world votes.

Ce constat est confirmé, selon moi, par les données du Cefrio dans son étude ” Les médias sociaux ancrés dans les habitudes des Québécois“. On y apprend qu’en 2012 les internautes québécois(e)s suivent  une marque, une entreprise, un organisme ou un ministère d’abord pour se divertir (58 %) mais tout de suite après parce que l’information diffusée rejoint ses intérêts (56 %), à 32 % parce qu’ils/elles supportent la cause, à 29 % pour interagir avec une communauté ayant les mêmes intérêts et enfin à 29 % parce qu’ils/elles sont déjà client(e)s.

Dans son billet ” Do Facebook ‘Likes’ Mean Loyal Customers? ” , Luke Brynley-Jones en vient aux mêmes conclusions que :

The top motivation for ‘liking’ a brand’s Facebook page is because you 威而鋼
are a loyal customer.

mais surtout, il publie les constats suivants que je me permets de traduire :

67 % des ami(e)s d’une page s’attendent à recevoir des offres exclusives. 22 % des marques offrent des rabais, des escomptes ou des offres exclusives à leurs ami(e)s.
60 % des ami(e)s d’une page espèrent échanger avec d’autres personnes qui sont eux/elles aussi client(e)s et partager leurs expériences. 30 % des marques favorisent les conversations.
50 % des ami(e)s s’attendent à recevoir de l’aide et du support après-vente. 10 % mettent l’accent sur le service et le support après-vente.

 

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